L’« Enfer du Nord », la « Reine des Classiques » : les qualificatifs ne manquent pas pour définir la course cycliste Paris–Roubaix, épreuve très particulière en raison des 50 km de pavés qui jalonnent le parcours et le rendent particulièrement éprouvant lorsque la pluie et le vent s’en mêlent.
Deuxièmement Pourquoi pas de Paris-roubaix ?
Le 15 mars, afin de contrer la pandémie de Covid-19, l’UCI demande aux organisateurs« d’annuler tout événement cycliste » dans les territoires identifiés à risque. La France bascule deux jours plus tard dans son premier confinement. Paris–Roubaix, prévu le 12 avril, passe donc une première fois à la trappe.
Or, Quel est le surnom donné à l’épreuve cycliste du Paris-roubaix ?
En réalité, la renommée de « La dure des dures » (oui oui, c’est l’un des surnoms de Paris–Roubaix) se doit à ses fameux secteurs pavés (29 au total) qui ont failli disparaître… En 1965, il ne restait que 22 kilomètres de pavés sur tout le parcours.
Par ailleurs Quel est le dernier Français à avoir gagné Paris-roubaix ?
Le record de victoires est détenu avec quatre succès par les Belges Roger De Vlaeminck, (1972, 1974, 1975 et 1977) et Tom Boonen, (2005, 2008, 2009 et 2012). Le record de victoires consécutives est partagé par le Français Octave Lapize (1909, 1910 et 1911) et l’Italien Francesco Moser (1978, 1979, 1980).
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